JOURNAL D'ÉMOIS

mardi 20 juin 2017

Dédié à Raif Badawi


Pendant qu' in-honnorable tu selfises
Fils de pet,
regardes un brin à l'autre boutt de ta drett
Regardes svp
Oui
Voui  encore plus à fond, comme çâ, bon.
Vois !
Des enfants regardent leur père
Manger solide, 1000 coups de fouet
Emprisonné à tort, injustement
Depuis des ans.

Radawi, te souviens ?
Bin oui, check tes vieux selfies
et ton fil twitter
Will you dare
pry- menesteur ? 

Pendant qu'il mange
la queue de son long spleen
Tu tangues
vipère
paon
pan pan 

Full fier Pet
Blindé jets limousines
Toi ,
ridicule Haut gradé
au jeu du parles mens
T'as la face si jolie mais
Le 6 pack affiché en houle la loi
Et des dents blanchies
aux Bahamas paradis fiscal

Tu côtoies les parodies
Fabrique en masse les absences d'espoir
Tu es l'2 de Pique ♠️ de ta famille
Le pas d' cœur de notre pays

Pendant qu'on siffle et oh et hue allègrement
Ce qu'eux et elles idéalisent souvent
You, glitter boy
Tu files à l'amaricaine
Pipeliner des rêves de liasse à engranger
Toi, tu fitt le parfait "bounser"
Dans le cadre
de tes potes

You, bebé élu haut la main
tout feu tout frame
Tout nouveau
tout ...pas si beau finalement ton État passif

Vêtu de tes modern cool
jeans et cravaches
Tu fouettes autant par ton manque d'action
Ton apathie
Que les geôliers chargés de faire saigner
le dos de Badawi
et les âmes de sa femme et enfants.

déserts
sont tes dunes
et nos mirages sont forts

Aussi
Oui toi, couché
la langue offerte
Pour donner gratis tout ce qui paye
Nos Anticosti, Gaspésie et Cacouna etc.

Ha Trompes-toi pas de perruque jaune
les alliances sont risquées aux zoo U S A
quand enroulées à même la nuque.

Une bague de mariage aux urnes
ça s'enlève,
Ça se retire
T'es pas tenu, pas obligé de faire sécher
tes dents toutes belles et blanches
Dans ces repaires hostiles
Là-bas où ça gicle le rich
et le cruel manque de Liberté
Lâ, chez ce fiel président
ni chez ce roi nappé tête aux pieds

La Poutine non plus
ne prendra pas
non plus.
Marinée vinaigre
Pen ne se digère, ne se tolère pas plus.

Politichien, tu mens comme je respire.
Tu mens longtemps et j'respire souvent.
Tu mens longtemps et j'respire souvent.

Pendant qu' in-honnorable tu selfises
Fils de pet,
regardes un brin encore
à l'autre boutt de ta drett
Regardes svp
Oui
Voui  encore plus à fond, comme çâ, bon.

Vois !
Des enfants regardent leur père
Manger solide, 1000 coups de fouet
Emprisonné à tort, injustement
Depuis des ans.

Radawi, te souviens ?
Bin oui, check tes vieux selfies
et ton fil twitter
Will you dare
pry- menesteur ? 

Dans le cirque
none liberty big fric paridise
Le trône de toi roi minuscule
empalé sur l'or noirci de tes comparses
Tu as
l'air et la démesure
De cette promesse sans prouesse
Qui te ridiculise mondialement, Justin

Paroles paroles

Vain, viens mister primé minister.
Viens voir
La honte
La peine
Le déshonneur que tu laisses
sans éclairage
En panne d'espoir

En Arabie saoudite
La cage du blogueur
N'a pas l'écuelle remplie de hors d’œuvre
pour faire partie de ton party power trip
Ni la possibilité d'une évasion non pas fiscale
Mais bien réelle.
Bon
À la bonne heure
Ni haine ni haine ni haine
Nenni
Juste un rush d'espoir
Qu'enfin tu interviennes
Mette tes culottes
et promette en échange de l'otage
de faire chanter par ta Sophie
Sa si jolie chanson
Une fois Raif Badawi libéré

elle siffle,
elle souffle
. l'enfant née Du Pain et des Roses .


Justin
juste et bon ?
Nan.

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