Hommage à Gerry Perry
C’est l’histoire d’un être humain Humain. Qui tient la route, mal gazé par l’excessive médication d’un mouroir à Gaspé.
Né à Cap-aux-Os en Gaspésie il y a 74 ans ! Comme son grand-père. Comme son père, dans cette vaste maison verte et blanche sous la couverture scintillante du toit de tôle parfait. Issu d’une petite famille (on s’entend… que cinq enfants seulement plutôt que la trôlée de quatorze quinze, c’est le Péché à l’époque où le Clergé est même dans la chambre à coucher). Donc, petite famille de cinq ayant résisté fort à l’expropriation sauvage vouée à créer le Parc Forillon.
Vers la fin des années 1960 jusqu’en 2000, Gerry Perry, notre Cap-aux-Os man en question, accueille sur son immense terre allant des montagnes jusqu’à la mer des voyageurs d’Europe, d’Afrique, d’Asie du Québec et de toutes les Amériques. Le bouche à oreille les amènent plus nombreux d’année en années. La plupart, des étudiants, des poètes, des musiciens, des cinéastes en devenir, des sociologues et anthropologues sur le chantier. Visiteurs sans grande fortune, Gerry invite ceux-ci à planter leur tente sans même avoir -l’idée- de demander un sou noir. Ils les amènent à la pêche aux maquereaux et, le soir venu, autour d’un feu de camp raconte. Raconte. Raconte. Conteur vivace. Conteur de traces !
Puis, après les sourires et les questions Oh ! Est-ce vrai tout ça !!??? de ces éphémères passagers de la plage, il prend sa guitare échevelée et chante, en faussant tellement bien du Hank Williams. "You are my sunshine, my only sunshine, you’ll never know dear, HOW much I love you…. Please don’t take my sunshine away…"
Avec son si long sourire il dit, comme pour s’excuser de ne pas être virtuose platine et nominé : « Y’a une corde quié pas d’accord »
Les voyageurs de ces décennies auront laissé pour seul héritage à Gerry Perry, des dizaines d’albums remplis de cartes postales. Touchants témoignages venus de chaque précieuse rencontre. Gratitude arrivée par la poste et revenue lui dire des paquets de « Je t’aime ». Notre Cap-aux-Os man était même dans le guide du routard Japonais !
Né à Cap-aux-Os en Gaspésie il y a 74 ans ! Comme son grand-père. Comme son père, dans cette vaste maison verte et blanche sous la couverture scintillante du toit de tôle parfait. Issu d’une petite famille (on s’entend… que cinq enfants seulement plutôt que la trôlée de quatorze quinze, c’est le Péché à l’époque où le Clergé est même dans la chambre à coucher). Donc, petite famille de cinq ayant résisté fort à l’expropriation sauvage vouée à créer le Parc Forillon.
Vers la fin des années 1960 jusqu’en 2000, Gerry Perry, notre Cap-aux-Os man en question, accueille sur son immense terre allant des montagnes jusqu’à la mer des voyageurs d’Europe, d’Afrique, d’Asie du Québec et de toutes les Amériques. Le bouche à oreille les amènent plus nombreux d’année en années. La plupart, des étudiants, des poètes, des musiciens, des cinéastes en devenir, des sociologues et anthropologues sur le chantier. Visiteurs sans grande fortune, Gerry invite ceux-ci à planter leur tente sans même avoir -l’idée- de demander un sou noir. Ils les amènent à la pêche aux maquereaux et, le soir venu, autour d’un feu de camp raconte. Raconte. Raconte. Conteur vivace. Conteur de traces !
Puis, après les sourires et les questions Oh ! Est-ce vrai tout ça !!??? de ces éphémères passagers de la plage, il prend sa guitare échevelée et chante, en faussant tellement bien du Hank Williams. "You are my sunshine, my only sunshine, you’ll never know dear, HOW much I love you…. Please don’t take my sunshine away…"
Avec son si long sourire il dit, comme pour s’excuser de ne pas être virtuose platine et nominé : « Y’a une corde quié pas d’accord »
Les voyageurs de ces décennies auront laissé pour seul héritage à Gerry Perry, des dizaines d’albums remplis de cartes postales. Touchants témoignages venus de chaque précieuse rencontre. Gratitude arrivée par la poste et revenue lui dire des paquets de « Je t’aime ». Notre Cap-aux-Os man était même dans le guide du routard Japonais !
Moi, c’est à seize ans que je l’ai rencontré. Il y a quelques décennies. Je travaillais à l’Auberge Jeunesse pour le gîte et le couvert. Mais, indomptable louve, je préférais dormir sur la falaise, à la belle étoile. Ce matin là, il était sortit à l’aube pour sa promenade quotidienne. De la plage il avait aperçu un corps près de tomber, endormi entre roc et racines. C’est lui qui m’avait réveillée. La nuit d’avant, j’avais veillé aussi longtemps que la pleine lune rouge de ce mois d’août avait pu éclairer les pages de mon cahier.
Alors, donc, ce grand homme mince et droit arrive avec son accent et retient, d’un geste fort rapide, l’adolescente qui aurait pu, glisser sur la grève.
Surprise, farouche, embêtée, j’accepte son premier sourire. Il se présente et me dit que plus tard, si j’ai faim, je peux venir manger chez lui, dans la maison verte et blanche. Je pense et grogne d’un parfait mutisme. Grognement du dedans. Un Grrrr qui hurle et brûle : « Je n’aurai pas faim. Et, je n’aime pas les étrangers, même quand ils me sauvent la vie ! »
Mais… le jour passe et, quelque chose comme la curiosité et l’appétit monte. Il est 17 heures. Je reviens de la plage et me dirige presque méfiante vers cette maison. Qui est-il ? Pour quelles raisons m’a-t-il invitée. Moi. Moi la muette étrangère. Moi, que les amis du village appèlent affectueusement la petite sirène. Okay. D’accord. Ce sera Sÿrenn d’abord, pas de petite. Oui. À cause de ma si longue chevelure. À cause de mes allers retours à l’océan, même glacé. Même glacée, je plonge chaque matin, chaque midi, chaque nuit. J’y peux pleurer, la mer est suffisamment salée pour contenir quelques marées de plus…
Qui est-il ? Ce monsieur à l’accent comme le ventre d'un anglais. Un clin d’œil du hasard ? Le destin peut-être. Oui, c’est ça. Puisque c’est contre ma nature à ce moment de mon existence de faire confiance, le destin m’appelle.
Surprise, farouche, embêtée, j’accepte son premier sourire. Il se présente et me dit que plus tard, si j’ai faim, je peux venir manger chez lui, dans la maison verte et blanche. Je pense et grogne d’un parfait mutisme. Grognement du dedans. Un Grrrr qui hurle et brûle : « Je n’aurai pas faim. Et, je n’aime pas les étrangers, même quand ils me sauvent la vie ! »
Mais… le jour passe et, quelque chose comme la curiosité et l’appétit monte. Il est 17 heures. Je reviens de la plage et me dirige presque méfiante vers cette maison. Qui est-il ? Pour quelles raisons m’a-t-il invitée. Moi. Moi la muette étrangère. Moi, que les amis du village appèlent affectueusement la petite sirène. Okay. D’accord. Ce sera Sÿrenn d’abord, pas de petite. Oui. À cause de ma si longue chevelure. À cause de mes allers retours à l’océan, même glacé. Même glacée, je plonge chaque matin, chaque midi, chaque nuit. J’y peux pleurer, la mer est suffisamment salée pour contenir quelques marées de plus…
Qui est-il ? Ce monsieur à l’accent comme le ventre d'un anglais. Un clin d’œil du hasard ? Le destin peut-être. Oui, c’est ça. Puisque c’est contre ma nature à ce moment de mon existence de faire confiance, le destin m’appelle.
Des chats, des chattes, une demie dizaine faisaient une prière en clin d’oeil au Soleil. Quand j’ai frappé à la porte, on m’a ouvert. Une délégation de chaque pays commençait à manger. J’étais bienvenue, ça se sentait.
J’ai recommencé à sourire ce jour-là. Un sourire défarouché, expiatoire des souffrirs de l’enfance.
Cet homme, cet être humain Humain et moi gardons toujours contact. En 2000, la ville de Gaspé alertée par quelques jaloux Campings Payants aura interdit à Gerry de recevoir de la visite sur ses terres. Ces quelques cinq ou dix tentes à la fois étaient trop pour leur mesquine envie. Après avoir reçu des avis et des contraventions de milliers dollars qu’il ne possédait pas, on l’a chassé, vidé de sa maison pour aller doucement l’assassiner dans un mouroir où un lit et une armoire composent son horizon.
Gerry Perry est encore vivant, aujourd’hui, Novembre 2006.
Pour ses 70 ans, j’avais tenté de joindre quelques voyageurs du Monde passés chez lui. Contacté journaux et quelques médias. Après tout, on avait déjà fait un film sur lui, Cap-aux-Os man et son village. Je lui souhaitais une grande fête ! Au moins cent personnes sur la plage !
J’ai recommencé à sourire ce jour-là. Un sourire défarouché, expiatoire des souffrirs de l’enfance.
Cet homme, cet être humain Humain et moi gardons toujours contact. En 2000, la ville de Gaspé alertée par quelques jaloux Campings Payants aura interdit à Gerry de recevoir de la visite sur ses terres. Ces quelques cinq ou dix tentes à la fois étaient trop pour leur mesquine envie. Après avoir reçu des avis et des contraventions de milliers dollars qu’il ne possédait pas, on l’a chassé, vidé de sa maison pour aller doucement l’assassiner dans un mouroir où un lit et une armoire composent son horizon.
Gerry Perry est encore vivant, aujourd’hui, Novembre 2006.
Pour ses 70 ans, j’avais tenté de joindre quelques voyageurs du Monde passés chez lui. Contacté journaux et quelques médias. Après tout, on avait déjà fait un film sur lui, Cap-aux-Os man et son village. Je lui souhaitais une grande fête ! Au moins cent personnes sur la plage !
20 août 2004, midi, nous étions... quatorze ou douze tout au plus à célébrer, à l’honorer. Un être humain qui a mit du soleil dans la vie de tellement de gens pendant des décennies mérite-t-il une mort si seul, une fin de vie si triste ? Non.
Allez donc tous le visiter, 50 rue Bossé à Gaspé, Gerry Perry. Dites-lui que c’est Sÿrenn qui vous envoie. Il comprendra.
Allez donc tous le visiter, 50 rue Bossé à Gaspé, Gerry Perry. Dites-lui que c’est Sÿrenn qui vous envoie. Il comprendra.
25 commentaires:
Touchant. Fait penser à un ami échoué au village et qui a maintenat 72 ans, vieil épies de blé d'Inde des plus accueillant. Je ferai suivre ton récit à l'Anse Pleureuse.
Fais-le suivre partout où tu peux Jack, Gerry a tant besoin de vrai visite après tout ce qu'il a offert, juste retour, juste retour.
Merci.
Ici vit Gerry Perry
chambre 320
mais son âme est taillée
dans les cœurs
Bonjour Nina
L'histoire est si belle, et tellement triste. Il y a si peu d'humain sur cette Terre, si peu, si peu d'amour, et tant trop d'ingratitude...
Bises à toi douce sauvageonne
Butineur: Ci-Vit Gerry Perry chambre 320, rue Bossé à Gaspé même. Ci-Vit, lié à vie-à mort à Sÿrenn sauvée de la grave grève du vivre. Coeur taillé, coeur forgé.
Chris: Bonjour à vous Dame.
Oui, l'histoire est triste mais fort heureusement, elle n'est pas terminée puisque ce bel être humain vit encore. Il a eu droit à mes rires et mes -Je t'aime- au matin.
J'ai tenté (sourire) de jouer le jeu proposé chez vous d'un poème courtois. Ce que vous écrivez me plaît. Il y a là un bel élan et une véritable complicité avec vos lecteurs. Ravie de vous relire.
Touchant...
J'aime bien : douce sauvageonne
A la fois touchant et révoltant. Criss que le monde est con! Excuse-moi, fallait que ça sorte.
Mais merci pour ce magnifique récit. Ton hommage à Gerry est magnifique. Poste-le lui?
J'attends les photos de Gerry sur ton blog.
"you are my sunshine..." on pourrait p'têtre bien aller lui chanter:)
j'espère que mon autre commentaire a fonctionné?
Caro: Non, pas d'autre commentaire reçu. Superk veut m'aider et j'accepterai ce soir son aide de technicien précieux. La version beta m'a arraché je ne sais combien de traces d'ailleurs.
Pour ce qui est de cet hommage, je l'ai lu à Gerry au tel. Oka/Gaspé collés, poêle à bois contre vue sur mer. Il pleurait et m'a chanté en direct pour me remercier sa toune de Hank Williams. Bon moment... plein de tendre et de fort. Le lendemain le texte partait chez lui. Il l'aura reçu quelques jours plus tard. Les photos ? Ah oui. Bientôt bella.
Bises sans toux gente âmie.
Il arrive parfois qu'au hasard des chemins, on croise un être humain, cette espèce si rare. Instants précieux, régénérants, vitaux, proches du Souffle et de la Grâce, qui nous donnent la force de continuer encore, malgré coups,déceptions, regrets. En ces moments-là, nous sommes dans la Vie, nous ne nous contentons plus de vivre mais d'être pleinement vivants. Vous avez apparemment croisé quelques uns de ces instants, quelques uns de ces êtres-là. Vous le méritez amplement …
Poetic gladiator: "Vous le méritez amplement …"
C'est vrai. Oui. La Vie, majestueuse joueuse de tours; destins hasards fatum, placés précisément -quand- et -où- il le faut. J'ai croisé,(merci, vive la gratutude), chaque fois les gens qu'il fallait que je rencontre et plusieurs font encore la route à mes côtés, en parallèle ou en diagonale et... même à l'horizontal (ça, c'est une plaisanterie grivoise !!!).
Ouaip... une belle histoire touchante. Je m'étais juré de revisiter la Gaspésie un jour. Je suis un Sourd et pourtant, ce serait un plaisir pour moi de côtoyer un conteur à la langue étrangère tel Gerry, bien pas tant que ça puisque je maîtrise la langue française, mais quoi qu'il soit, nous serions tous deux étrangers l'un à l'autre. La vie est faite de destin, de rencontres et d'humains prompts à saisir ce que la vie a de richesse insoupçonnée à offrir.
Souque: Quand tu as posté ton commentaire, j'étais à me faire jouer de la guit par Gerry Perry. Ce petit hasard de "googoolne" aura fait résonner le téléphone dans sa chambre de Gaspé. Des Je t'M à dire et à garder dans le coeur.
Tu es sourd ? moi j'étais muette. Pour vrai. Un long bout de temps.
Je te laisse l'adresse de Gerry Perry. Recevoir du papier avec des mots dessus, ça lui donnera un jour de joie...
50 rue Bossé
Foyer Notre-Dame
Gaspé, Qc
G4X 1C2
Ça me fait penser...En 2001...je crois, nous sommes allés sur cette plage et malgrés les interdits, quelques rebelles campaient encore. Ce soir là autour du feu, quelqun nous a raconté Cette Légende Vivante. Nous en étions tous si émus, que quelqun est allé le chercher au mouroir.
Moi et mes enfants avons donc pu entendre "you are my sunshine.."chanté par nul autre que...Jerry Perry!!
Merci à toi pour ce magnifique texte dont je ne sais comment j'ai fait pour tomber dessus.
Nous somme le 4 août 2007, départ pour Forillon le 19 août 2007.
Adieu
X
Chère Caroline, aujourd'hui 4 août 2007. Merci pour ton mot. Touchée.
Le 20 août alors tu seras certes arrivée à Gaspé. Ce sera son anniversaire. Gerry aura 74 si je ne me trompe. Il est à la chambre 320, au Foyer Notre-Dame 50 rue Bossé. tu peux aussi l'appeler 418-368-1673.
dis-lui que c'est Syrenn qui t'envoie, il comprendra. C'est ainsi qu'il m'appelle depuis 20 ans.
tendresse
Bon voyage !!!
Bonjour à vous tous!!! Très beau texte, très émouvant!! Je suis du village que vous parler et j'aimerais apporté en quelque sorte mon opinion personnelle sans offusquer personne. Gerald est un homme aimable et un ami de la famille, pendant plusieur années, ç'allait bien avec ses amis et visiteurs et quelque dizaines de tentes. Moi-même j'allais sur cette plage et discuter avec les visiteurs. Mais cette aventures est devenue trop grosse pour Gerald soit capable le gérer, surtout à son âge. Au début avec les quelques dizaine de tente, c'était bien et il aimait beaucoup de parler au jeunes, mais vers la fin des années 90, ce n'était plus une dizaine de tente mais bien une quarantaine dans le minimum, c'était presque un village. Et le terrain n'avait pas les service naicessaire pour le nombre de personnes. Il avait beaucoup d'excréments, de déchets, et même des seringues de trouver dans les dernière année de ce camping artisanal. Faut pas oublier que dans un village, il y a des enfants, et c'est pas plaisant quand un enfant arrive en disant qu'il a trouver une seringe ou un condom déroulé. Je sais que vous aller pas me croire et me traiter de toute sorte de nom. Mais plus qu'il y a de monde, le pourcentage d'escroc et de mauvaise personnes augmente aussi. Gerald s'est fait vollé de l'argent, des biens, il s'est fait menacer pour payer des billets d'autobus. Sur la plage, sa nièce s'est fait violer. Il s'est fait tellement vidé pendant une année que durant l'hiver avec plus un sous dans les poches , il avait presque rien à manger et plus de bois de chauffage, il passa l'hiver comme chauffage à brûler des boites de carton que l'épicerie du village lui donna!!! Il a même avouer qu'il avait peur des prochains été de certain individu et je crois que la santé mentale en a manger un gros coup, surtout avec sa tentative de suicide qui me confirme le tout. Pour le bien de Gerry surtout avec son âge, c'était mieux pour lui d'être d'entouré de gens pour prendre soins de lui, côté nourriture, chaleur et santé. Car Gerald ne serait plus de ce monde aujourd'hui...
Wolf : bien sûr que non, je ne t'en voudrai pas de ce témoignage. il est clair, il éclaire. ça me jette à terre, ça me boulverse qu'on ait pu abuser d'un homme si humain. je suis sciée par ta version des faits. la bonté et la naiveté attire-t-elle toujours les salauds ?
Merçi de lire mon texte sans commentaires disgracieux, mais j'ai seulement dit la vérité... Peut-être que vous le saviez pas, mais cette plage n'est pas municipale, mais privée, et il y a quelques propriétaires, et quand c'est privée, sans le vouloir, tu es en quelque sorte responsable des accidents qui peuvent arriver et également responsable pour des actes illégaux aussi...Aujourd'hui je suis propriétaire d'une partie de cette plage juste voisin du champs à Gerald, à partir de son "winch" pour son "flat" à droite, c'est à ma famille. Il y a une partie à vendre et une partie que je garde pour le futur et j'ai des projets avec ma famille ( ma conjointe et 2 jeunes enfants) C'est peut-être dommage pour les visiteurs, mais pour moi, avec tout les histoires, de viol, drogue, seringue, overdose avec besoin d'ambulance, et même des naturiste!!!! C'est mieux pour la tranquilité pour réaliser les projets avec ma famille...Mais il a eu de très bon moment qui faut pas oublier non plus!!
jai souvent parler a gerry car je travailait ou il reste présentement
je voulais rajouté que gerry est un homme extraordinaireje mcroie que je vais brandre quel que minute et je vais aller le voir
bonne idée... ça fait souvent du bien recevoir de bô grands smilz
Bonjour, je voulais écrire un message concernant M. Gerald Perry, il est décédé le 13 décembre 2014.
woofoo1, merci pour ton mot, on m'avait informée du décès de Gerry. Je suis allée le voir plusieurs fois l'été dernier, je sentais bien qu'il parcourrait ses derniers milles...
Publier un commentaire