Ah Nina, que de beauté dans ces photos. La luminosité est absolument extraordinaire. Je suis en train de lire "les Hauts de Hurlevent" et je trouve que vos photos illustreraient à merveille ce roman. Je ne sais que dire d'autre, les images parlent d'elles-mêmes. Merci de me faire voyager jusque chez vous sans avoir besoin de passer toutes les barrières douanières...
Photos de ce grand lac, où je vais lire, penser, contempler. Je vous offrirai le désert blanc quand en février cette "Mer" Okoise sera gelée, nue, pleine de vents qui s'embrassent.
Il est beau votre chez-vous. Oka. C'est déjà un voyage. Un rêve en trois notes. C'est sauvage. J'aime les paysages, les espaces qui ne se laissent pas aprivoiser...
j'imagine des irokois sur cette grève aux herbes flèches au sable mouillé au tout fond avec l'eau qui se ride calme en respiration assoiffée en silence grandiose en clash de couleur rouge , peau rouge rouge terre de ces herbes qui bruissent et le vert doux le bleu l'étirement panthère du ciel qui caresse et l'eau qui fredonne doucement qui chantonne plat à perte de peau loin l'esprit s'étire et est ramené au gravier tourbe toujours loin
11 commentaires:
Ah Nina, que de beauté dans ces photos. La luminosité est absolument extraordinaire. Je suis en train de lire "les Hauts de Hurlevent" et je trouve que vos photos illustreraient à merveille ce roman. Je ne sais que dire d'autre, les images parlent d'elles-mêmes. Merci de me faire voyager jusque chez vous sans avoir besoin de passer toutes les barrières douanières...
Je trouve ces photos si belles, surtout celles aux cieux gris
Le temps maussde met mieux encore en valeur la lumière
très jolis clichés.
forts... beaux... parlant...
Photos de ce grand lac, où je vais lire, penser, contempler. Je vous offrirai le désert blanc quand en février cette "Mer" Okoise sera gelée, nue, pleine de vents qui s'embrassent.
Merci belles Dames
UNE AUTRE MER
Quand le vent ne remue plus l'eau
La glace devient un miroir
Le temps arrête les chevaux
Qui courent vers le désespoir
Le désert blanc s'emplit de chaud
Dans l'étreinte d'un ostensoir
Immobile aux parfums du beau
C'est l'heure où surgit le grand soir
Dans les yeux verts des braseros
Le trait d'azur d'un promontoire
Je découvre la beauté d'oka, le calme d'oka, la sérénité d'oka, la quiétude qu'elle inspire.
GMC: Contente que ces images de mon terrain de jeu vous inspire.
Titif: Voilà, je vous l'avais promis. Des photos de mon Oka, de ma terre, mon lac, mes racines.
Titif: Je vous dirai vous même sous la menace. (rires complices, tutoyant en catimini)
Il est beau votre chez-vous. Oka. C'est déjà un voyage. Un rêve en trois notes. C'est sauvage. J'aime les paysages, les espaces qui ne se laissent pas aprivoiser...
Chris: Quand le lac sera gelé, s'il finit par se figer, je vous offrirai des images de mon désert de neige.
j'imagine des irokois sur cette grève aux herbes flèches au sable mouillé au tout fond avec l'eau qui se ride calme en respiration assoiffée en silence grandiose en clash de couleur rouge , peau rouge rouge terre de ces herbes qui bruissent et le vert doux le bleu l'étirement panthère du ciel qui caresse et l'eau qui fredonne doucement qui chantonne plat à perte de peau
loin
l'esprit s'étire et est ramené au gravier tourbe toujours
loin
Publier un commentaire