JOURNAL D'ÉMOIS

dimanche 3 décembre 2006

Bord de "MER" Okois
































Terrain de jeu Okois
plage de glace
eau remuée par le vent
Terre accueillant le silence, les sourires, la lectrice.
2/12/2006 par Nina Louve

11 commentaires:

Delphinium a dit...

Ah Nina, que de beauté dans ces photos. La luminosité est absolument extraordinaire. Je suis en train de lire "les Hauts de Hurlevent" et je trouve que vos photos illustreraient à merveille ce roman. Je ne sais que dire d'autre, les images parlent d'elles-mêmes. Merci de me faire voyager jusque chez vous sans avoir besoin de passer toutes les barrières douanières...

Cergie a dit...

Je trouve ces photos si belles, surtout celles aux cieux gris
Le temps maussde met mieux encore en valeur la lumière

Karo Lego a dit...

très jolis clichés.
forts... beaux... parlant...

Nina louVe a dit...

Photos de ce grand lac, où je vais lire, penser, contempler. Je vous offrirai le désert blanc quand en février cette "Mer" Okoise sera gelée, nue, pleine de vents qui s'embrassent.

Merci belles Dames

Anonyme a dit...

UNE AUTRE MER

Quand le vent ne remue plus l'eau
La glace devient un miroir

Le temps arrête les chevaux
Qui courent vers le désespoir

Le désert blanc s'emplit de chaud
Dans l'étreinte d'un ostensoir

Immobile aux parfums du beau
C'est l'heure où surgit le grand soir

Dans les yeux verts des braseros
Le trait d'azur d'un promontoire

Titif a dit...

Je découvre la beauté d'oka, le calme d'oka, la sérénité d'oka, la quiétude qu'elle inspire.

Nina louVe a dit...

GMC: Contente que ces images de mon terrain de jeu vous inspire.

Titif: Voilà, je vous l'avais promis. Des photos de mon Oka, de ma terre, mon lac, mes racines.

Nina louVe a dit...

Titif: Je vous dirai vous même sous la menace. (rires complices, tutoyant en catimini)

Anonyme a dit...

Il est beau votre chez-vous. Oka. C'est déjà un voyage. Un rêve en trois notes. C'est sauvage. J'aime les paysages, les espaces qui ne se laissent pas aprivoiser...

Nina louVe a dit...

Chris: Quand le lac sera gelé, s'il finit par se figer, je vous offrirai des images de mon désert de neige.

lamber Savi a dit...

j'imagine des irokois sur cette grève aux herbes flèches au sable mouillé au tout fond avec l'eau qui se ride calme en respiration assoiffée en silence grandiose en clash de couleur rouge , peau rouge rouge terre de ces herbes qui bruissent et le vert doux le bleu l'étirement panthère du ciel qui caresse et l'eau qui fredonne doucement qui chantonne plat à perte de peau
loin
l'esprit s'étire et est ramené au gravier tourbe toujours
loin